Professionnaliser son écriture.
#30 ou comment voir l’écriture autrement qu’un passe-temps.
Lundi 01 juillet 2024,
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Depuis quelque temps, j’ai remarqué que l’écriture prenait de plus en plus de place dans ma vie. Pourtant, mes activités professionnelles comme le ghostwriting et l’écriture de biographies sont proches de zéro. Mais à côté de ça, j’écris quotidiennement dans mon carnet (deux fois par jour), je prends des notes littéraires quand je lis, j’en rédige des permanentes pour mon système de gestion des connaissances et je publie tous les jours cette newsletter — même s’il m’arrive d’écrire mon édition quotidienne à 22h parce que je n’ai pas pris le temps de le faire dans la journée.
Le problème est que j’ai l’impression de stagner parce que je ne prends pas au sérieux mon écriture. Je sens que je dois passer à l’étape supérieure et véritablement la professionnaliser pour réussir à devenir plus prolifique et atteindre la vision de mon futur idéal : devenir auteur et penseur, et publier au minimum un livre par an.
Pour atteindre cet objectif, je me réfère aux mots du maître de l’horreur, Stephen King(1). L’écrivain américain parle de l'importance de la discipline, de la routine d'écriture et du travail acharné pour devenir un écrivain professionnel. Il insiste sur le fait que l'écriture doit être traitée comme un travail sérieux, avec des horaires réguliers et un engagement constant.
Donc je sais que cette professionnalisation doit passer par le fait de consacrer une plage horaire à mon écriture — par exemple, bloquer 1h par jour à l’écriture de la newsletter et le faire tous les jours à la même heure ou rédiger au minimum 6 notes permanentes à partir des notes littéraires.
La professionnalisation de mon écriture va être une de mes priorités dans les prochains mois, ainsi que la création de systèmes qui me permettent à la fois de mieux écrire et de plus écrire.
Merci de m’avoir lu,
Damien
Références :
(1) On writing, a memoir of the craft - Stephen King